Parce que les fleurs sont blanches – Gerbrand Bakker
Tout est dans le titre de ce billet, ou presque : Aux côtés d’Eva, du blog Et si on bouquinait un peu, j’ai le plaisir de vous inviter à une lecture commune du roman Parce que les fleurs sont blanches. Rendez-vous est pris pour le dimanche 25 février ! Ce roman néerlandais de Gerbrand Bakker, traduit par Françoise Antoine, a paru en 2020 chez Grasset et est désormais disponible en poche également. Fabienne, du blog Livr’escapades, a déjà annoncé qu’elle serait des nôtres. Nous espérons que d’autres se joindront à nous. C’est en effet l’occasion ou jamais de découvrir un auteur contemporain d’un petit pays assez peu représenté sur les étals de nos librairies.

Je rappelle le principe de la lecture commune pour les éventuel(le)s néophytes : chacun(e) lit le roman de son côté et publie – à une date convenue d’avance, ici le 25 février donc – sa chronique de lecture. Si vous n’avez pas de blog, compte Instagram ou autre, mais avez très envie de nous dire ce que cette lecture vous aura inspiré, n’hésitez pas à m’envoyer un mail (par le formulaire de contact) pour que je publie votre avis en plus du mien. Pour les autres, le moment venu, envoyez nous, à Eva et moi, le lien vers votre chronique, par exemple en commentaire.
Résumé de l’éditeur : Gerard élève seul ses 3 garçons depuis que leur mère les a quittés sans laisser d’adresse, se contentant d’envoyer des cartes postales depuis l’Italie pour les anniversaires et Noël. Klaas et Kees, les jumeaux de 16 ans et leur petit frère Gerson vivent néanmoins dans une maisonnée plutôt joyeuse où Gerard s’efforce de faire bonne figure.
Un dimanche matin ordinaire, leur vie bascule. Sur une route de campagne traversant des vergers où fleurissent des arbres fruitiers, une voiture s’encastre dans celle de Gerard. Si les jumeaux et le père s’en tirent avec des blessures légères, il en sera tout autrement pour Gerson. Il est plongé dans le coma et au réveil, il comprend qu’il a perdu la vue. Aidé par Harald, infirmier dévoué, l’adolescent tente d’apprivoiser sa nouvelle vie, alors que les jumeaux et leur père essaient également de faire face.
Pour son éditeur, Gerbrand Bakker est un « maître incontesté dans l’art de saisir l’essentiel avec peu de mots. Son écriture impressionne par sa concision, sa justesse et surtout, par l’absence absolue de tout pathos. » Tout un programme, n’est-ce pas ? J’espère en tous cas vous avoir tenté(e) !

PS : Pour découvrir ou annoncer des lectures communes et des challenges thématiques, Sandrine a créé un site très pratique : https://lecturescommunes.wordpress.com/